Pouvez-vous vous présenter ?
Après un doctorat de philosophie, j’ai travaillé 7 ans dans une maison d’édition à Paris, en tant que maquettiste et chargée de suivi éditorial. Arrivée en 2011 à Réseau Canopé à Grenoble, mes missions se sont progressivement orientées vers la chefferie de projets complexes, tout en conservant autant que faire se peut mes compétences techniques éditoriales.
Quel rôle jouez-vous dans Pégase ?
Dans le cadre du projet Pégase, j’assure la chefferie de projet (le pilotage financier, administratif et logistique) pour Réseau Canopé, partenaire du projet via sa direction territoriale Auvergne-Rhône-Alpes, notamment pour l’action 5 « Dissémination ».
Il s’agit d’accompagner la conception et la production des événements et des actions portés par ce groupe de travail du Pôle Pégase en termes de diffusion, de dissémination et de communication. Cela s’est traduit dans un premier temps par le développement du site Internet du projet, vitrine du Pôle Pégase, que nous enrichissons et faisons évoluer au fur et à mesure des besoins, avec par exemple récemment la nouvelle page « Ressources ». Dans un second temps, cela se traduit par l’accompagnement des événements avec, d’une part, la production et la diffusion les podcasts des Mercredis de Pégase et, d’autre part, la conception et l’animation de la première Semaine Internationale de la Pédagogie qui s’est déroulée fin octobre 2022.
Réseau Canopé est également présent pour l’action 2 « Formation continue » en co-construisant et déployant une offre de certification auprès des formateurs de formateurs.
D’autres actions sont encore attendues, telles que l’accompagnement des EducLabs avec des médiatrices et médiateurs Canopé, l’accueil d’un contrat CIFRE dans le cadre de l’action 3 « Recherche longitudinale », ou encore la co-édition d’ouvrages.
Pourquoi avez-vous souhaité vous impliquer dans Pégase ? Qu’est ce qui vous intéresse plus particulièrement ?
Le pôle Pégase, c’est un peu le monde de l’éducation rêvée ! Faire le lien entre le monde de la recherche et les réalités du terrain, dans une dynamique de réduction des inégalités (scolaires, sociales, territoriales…), avec une réelle prise en compte des besoins en formation des enseignants… L’ambition est vaste et c’est réellement enthousiasmant de pouvoir y contribuer, y participer !
Un autre élément qui motive mon implication pour ce projet est la découverte d’un nouvel écosystème en construction, où il est possible de croiser les points de vue et les pratiques, d’échanger, de tester des hypothèses dans une perspective de co-construction des apprentissages sans craindre la fécondité des erreurs, et d’essaimer ces initiatives aussi largement que possible.
