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© Antonin Duhoux

Pouvez-vous vous présenter ?

J’ai un parcours professionnel initial dans le médical : 15 ans à la coordination du suivi des prématurés nés en Isère (réseau Naître et Devenir, CHUGA) puis 3 ans au sein de la Plateforme de Coordination et d’Orientation PCO 0-6 ans, pour les enfants avec suspicion d’un trouble du neuro-développement (Plateforme Anaïs, GCS MRSI).

Quel rôle jouez-vous dans Pégase ?

Au sein de l’action 3, je suis actuellement la coordinatrice du PupilLab de Grenoble. Le PupilLab (=laboratoire des écoliers) est une plateforme de recherche sur le développement de l’enfant de 3 à 17 ans, inter-laboratoires UGA. Mes missions principales sont le recrutement de nouveaux volontaires, la rencontre entre les familles et les chercheurs dans les locaux de la MaCI (maison de la création et de l’innovation) et la facilitation de l’organisation de passations pour les chercheurs (diffusion de l’étude en cours, prise de rendez-vous, réservation de salle, suivi …).

Pourquoi avez-vous souhaité vous impliquer dans Pégase ? Qu’est ce qui vous intéresse plus particulièrement ?

Dans mon parcours professionnel, déjà impliquée dans le suivi des enfants, plutôt sur le versant médical mais déjà en lien avec les familles, le projet Pégase a attiré mon attention par la complémentarité d’approche (l’éducation, la création de ressources pour l’enseignement appuyé sur une démarche Evidence-Based). Par ailleurs, l’objectif de travailler sur la réduction des inégalités en associant différents publics (enseignants, rectorat, chercheurs, parents) est innovant et a motivé ma participation dans le projet Pégase. La mise en lien, le travail en réseau, l’apport de chacun des acteurs autour de l’enfant sont à développer et à valoriser …
Je suis intéressée par le développement de l’enfant (typique ou atypique), les recherches en science de l’éducation, le développement du langage …
Je suis ravie de travailler avec Fanny Gimbert LaRAC et Mathilde Fort LPNC, toutes les 2 responsables du PupilLab.
Le lien entre le PupilLab et le BabyLab est fort. Pour l’anecdote, j’avais emmené une de mes filles en 2011, toute petite, pour des tests au BabyLab (vision et langage).

Vous avez ou êtes en contact avec des enfants entre 3 et 17 ans, le PupilLab recherche des volontaires : cliquez ici.