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Conférence « Modéliser des gains d’apprentissage dans les études longitudinales » par Pascal Bressoux, professeur en Sciences de l’Education à l’Université Grenoble Alpes, et membre du LARAC.
La mesure des progrès d’apprentissage peut se révéler compliquée tant sur le plan conceptuel qu’empirique. Cette présentation visera à éclairer ces aspects, montrera l’intérêt à distinguer les niveaux intra-individuel, interindividuel et contextuel. Sera développée, en particulier, la notion de modèle de croissance.

Conférence « Questions psychométriques appliquées aux protocoles longitudinaux » par Thierry Rocher, responsable du bureau de l’évaluation des élèves à la Direction de l’Evaluation, de la Performance et de la Prospective (DEPP).
Résumé à venir.

Conférence « Concevoir une évaluation randomisée : niveau de randomisation et effet minimum détectable » par Quentin Daviot, responsable méthodologie pour le programme Equipex-IDEE.
Les évaluations à assignation aléatoire constituent l’une des méthodes les plus fiables pour mesurer l’impact d’un programme. Mais les conclusions que l’on pourra tirer d’une comparaison entre un groupe « actif », ou « test », et un groupe « témoin », et donc la capacité à répondre de manière concluante à la question de recherche initiale, vont dépendre fortement de deux paramètres : l’unité de randomisation et la taille de l’échantillon. Dans cette présentation, Quentin Daviot va illustrer comment réfléchir à l’unité de randomisation pertinente en tenant compte des caractéristiques du programme à évaluer et des potentiels effets de diffusion, et comment l’unité de randomisation, la participation effective au programme et aux collectes d’information, et la taille de l’échantillon influencent l’effet minimal statistiquement détectable – c’est à dire le plus petit effet (réel) qui aboutira, dans l’analyse statistique des échantillons test et témoin, à une conclusion d’efficacité du programme.